Situation.
Dorothée est une jeune maman, son premier enfant est
anémique et depuis l’âge de 3 ans ses crises se succèdent.
Elle vient à l’hôpital. Elle se confie à Katy, une
infirmière qui a distingué à l’ISSI. Elle raconte que son mari Vincent
Kosakosa, l’autre jour lui a dit quelque chose qui lui a fait très mal :
on ne devait pas se marier car tu vois la souffrance que nous avons provoqué…
Question
: Si tu étais Katy qu’est-ce que tu dirais à
Dorothée ?
1. La valeur chrétienne de la
souffrance des enfants.
2. Ni stoïcisme, ni bouddhisme.
3. L’Amour demande acceptation.
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1. La valeur chrétienne de la
souffrance des enfants.
Le Christ souffre avec eux. Laisser les enfants venir à
moi.
La souffrance des enfants ne se perde pas car il est intégré dans la
souffrance du Christ.
Est-il possible que Dieu aime la souffrance des
enfants ?
Oui, car il voit la souffrance de son Fils. Il s’agit
d’une douleur d’amour.
2. Ni stoïcisme, ni bouddhisme (enlever tout désir).
Trois positions face à la douleur.
1. La résignation. Les stoïciens disent qu'il faut se
plier à son destin. Il est inutile de se rebeller.
2. Les bouddhistes disent que pour ne pas souffrir et
atteindre le nirvana, il faut s'abstenir de tout désir.
3. Les chrétiens (et les personnes de bonne volonté)
cherchent le sens de la souffrance.
QQ : Quelle est la réaction d’un stoïcien après un
tremblement ?
QQ : Et un bouddhiste ?
QQ : Et un chrétien ?
3. L’Amour demande acceptation.
Voici mon Fils bien aimé. Dieu accepte notre douleur
comme un acte d’amour, de communion de personnes.
QQ : Quelle est la bonne réaction si notre amour
n’est pas accepté ?
Chercher un autre.
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