
*1er mai 2025* : Saint Joseph travailleur. *Papa Joseph* !
Joseph, artisan dans un petit
village de Galilée, est pour le chrétien le modèle à suivre dans
l’accomplissement de ses activités professionnelles, parce qu’il a travaillé
dans l’intimité quotidienne de Jésus.
"Pour commencer le mois de mai plaçons-nous
sous la protection de Joseph et Marie.
Comme le rappelle l'Évangile, Jésus est le fils
du charpentier (Matthieu 13, 54-58), un charpentier dont la sagesse et le
service témoignent de la grandeur de son cœur.
En ce mois dédié à Marie, essayons d'entrer dans
son cœur, un cœur dont le premier amour est Jésus, et le second, Joseph.
La prière de la messe nous invite à suivre
l'exemple de saint Joseph, qui a accompli avec amour et dévouement les tâches
que Dieu lui a confiées, nous rappelant que le travail, né de l'amour,
manifeste l'amour et s'ordonne à l'amour (saint Josémaria).
Que ce mois de mai soit pour nous l'occasion de
travailler avec la même ferveur et le même amour, sous le regard bienveillant
de Joseph et Marie."
*Matthieu 13, 54-58*
« D’où lui viennent cette sagesse et ces
miracles ? N’est-il pas le fils du *charpentier* ?
*Écoute, Seigneur* :
La meilleure façon de commencer le mois de Marie, c’est
d’essayer d’entrer dans le cœur de notre Mère. Son premier Amour, Jésus. Son
deuxième Amour : Joseph.
Vivre le mois de mai avec Marie et Joseph.
*PRIÈRE de la Messe*
Dieu, Créateur de
l’univers, tu as donné au genre humain la *loi du travail* ; en ta bonté,
accorde-nous d’accomplir, à l’exemple du bienheureux Joseph et sous sa
protection, les tâches que tu nous confies, et de recevoir la récompense que tu
promets.
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Pour la méditation :
Aucun des outils qu’il a
fabriqués ne nous est resté.
En revanche, l’amour
qu’il a mis dans son travail reste pleinement présent. « L’homme ne peut se
limiter à faire des choses, à fabriquer des objets. Le travail naît de l’amour,
manifeste l’amour et s’ordonne à l’amour » (saint Josémaria).
Son amour de Jésus et de
Marie le poussait à travailler intensément et se manifestait, presque
inconsciemment, dans l’effort et l’affection qu’il apportait à ses tâches.
C’est ce même amour, en
unité de vie, qui lui rappelait que son travail quotidien s’ordonnait à la
mission que Dieu lui avait confiée.
Est-ce l’amour de Dieu et
des autres qui nous pousse à travailler beaucoup et bien, avec ordre, en
soignant les détails, avec concentration et intensité ?
Convertissons-nous notre
travail en prière, en le présentant au Seigneur au cours de la messe ?
Nous sentons-nous
entourés du Seigneur pendant que nous travaillons ?
Cet esprit contemplatif,
aboutit-il au respect, à l’esprit de service, à l’ouverture et à l’amitié
envers les personnes qui nous entourent ?
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