23 février, 2020

Le pontife romain, successeur de saint Pierre. Devoir d’assentiment religieux à son magistère.



Saint Pierre a reçu du Christ la fonction de veiller sur la pureté de la doctrine et de mœurs de ses frères dans la foi, ainsi que le pouvoir d’exposer  (avec une assistance spéciale du Saint-Esprit) les vérités contenues dans le dépôt de la révélation.

Par le moyen de ses successeurs sur la chaire romaine, la suprême autorité du magistère conférée par le Christ à saint Pierre continue d’éclairer les chemins des chrétiens qui ont, pour leur part, le devoir d’approuver les enseignements authentiques du pontife romain.

Cet assentiment religieux de la volonté et de l’intelligence (enseigne le Concile Vatican II, Lumen Gentium 25) est dû, a un titre singulier, au magistère authentique du pontife romain, même lorsque celui-ci ne parle pas ex cathedra ; ce qui implique la reconnaissance respectueuse de son suprême magistère, et l’adhésion sincère à ses affirmations.


Aujourd’hui, comme toujours, il faut donner une adhésion filiale et complète à la personne et à la doctrine du pape.

Saint Josémaria : « Depuis que Jésus-Christ a fondé l’Église, notre mère a été persécutée continuellement.
Sans doute jadis les persécutions étaient ouvertes, alors que maintenant elles sont très souvent sournoises ; mais aujourd’hui comme hier on continue de combattre l’Église.
La voix de la confusion s’élève partout et, avec elle, renaissent toutes les hérésies qu’il y a eu tout au long de l’histoire. »

Nous avons besoin d’une fidélité personnelle qui se manifeste en une union de cœur, d’intelligence et de volonté avec le souverain Pontife.

Une belle oraison jaculatoire : Rome !

 


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