14 mars 2025* : Vendredi de la 1ère semaine du Carême
Seigneur,
Mon adversaire est la voix de ma conscience.
Car si mon ange me dit que ce que je fais nourrit
un amour désordonné, alors ce message vient de Dieu.
Et je le considère comme mon adversaire !
Alors que c'est Toi, Seigneur, qui veux me
convertir pour que je devienne vraiment saint.
*Matthieu*
5, 20-26 :
Mets-toi vite d’accord avec ton adversaire pendant
que tu es en chemin avec lui, pour éviter que ton adversaire ne te livre au
juge, le juge au garde, et qu’on ne te jette en prison. Amen, je te le
dis : tu n’en sortiras pas avant d’avoir payé jusqu’au dernier sou. »
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Jésus-Christ
n'est pas venu abolir la loi, mais lui donner sa plénitude.
Avec Lui et en Lui, la vie d'un chrétien cesse
d'être une vie pleine d'obligations, de devoirs et de pratiques, et devient une
vie pleine d'abandon et de bonheur accompli.
Ainsi, le précepte "ne pas tuer" est
enrichi.
Être rempli de colère implique d'être passible de
jugement, ce qui était le tribunal prévu pour celui qui a assassiné ; celui qui
insulte est passible du Sanhédrin, un jugement plus sévère que le précédent ;
maudire apporte avec lui le feu de l'enfer ; et, enfin, avoir quelque chose
contre un frère signifie être hors de communion avec Dieu.
Ézékiel 18,
21-28
Ainsi parle le Seigneur Dieu : Si le méchant
se détourne de tous les péchés qu’il a commis, s’il observe tous mes décrets,
s’il pratique le droit et la justice, c’est certain, il vivra, il ne mourra
pas.
Psaume 129
Des profondeurs je crie vers toi, Seigneur,
Seigneur, écoute mon appel ! *
Que ton oreille se fasse attentive
au cri de ma prière !

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