ISSI 48 : Faire de la maison un
foyer
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SITUATION LEÇON 48 :
Claudia, infirmière 5 étoiles à
l’ISSI ne sait pas quoi faire pour concilier son travail professionnel et sa
vie de couple. Elle a déjà deux enfants et la fatigue l’angoisse. Ruth, 5 ans
plus agée, lui donne de bons conseils.
QUESTION À
RÉPONDRE DANS LE CAHIER :
Par où est-ce que Claudia doit
commencer pour surmonter son angoisse ?
Thème
de réflexion :
Foyer-Travail
Explications
opportunes du professeur :
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La conciliation est un processus qui vise à rapprocher des points de
vue ou à résoudre des conflits.
Le mot "conciliation" a plusieurs nuances.
Règlement amiable (entre parties
en conflit)
Accord
Négociation
Arrangement
Réconciliation
Apaisement
Trois conciliations sont
nécessaires pour que la femme fasse de la maison un foyer.
Première conciliation : avec elle-même.
Accepter son identité de femme.
Deuxième conciliation : avec son mari.
Elle seule ne peut pas transformer la maison en foyer.
Troisième conciliation : avec le travail.
Équilibre entre la carrière professionnelle et le foyer.
1. Identité de la
femme.
Chaque personne a une dimension
d'accueil et une dimension de donation.
Les neurosciences montrent qu'à
partir de la 8e semaine de gestation, le cerveau se féminise ou se masculinise
sous l'effet des hormones (ocytocine et œstrogènes dans le cas des femmes).
La spécificité féminine découle
de la capacité des femmes (et non des hommes) à avoir des enfants.
Cette capacité génère une série
de caractéristiques féminines : accueil, attention, éthique du soin,
attachement, intuition, protection, nourrissement. Bref, l'humanisation par
l'amour.
Les femmes doivent se réconcilier
avec elles-mêmes : se connaître et se réapproprier leur essence féminine.
Elles ne sont pas comme les
hommes et la maternité fait partie des paramètres de la réussite féminine.
Et le bon féminisme doit
désavouer l'idéologie du genre. Nous ne sommes pas neutres. Nous avons une
spécificité.
Les femmes ressentent le besoin
de rester à la maison, de ralentir, de prendre soin des enfants.
Il ne s'agit pas d'une faiblesse,
d'une pathologie ou d'un problème, mais de la manifestation de la spécificité
féminine.
Identité des femmes : accompagner.
2) Deuxièmement : se réconcilier avec le mari. Être avec notre couple.
D'abord le couple. Si le mariage est fort, la famille est forte.
L'homme n'est pas l'ennemi même
s’il n'est pas comme la femme.
Il voit la vie différemment.
Apprécier l'altérité sexuelle.
La femme protège, l'homme
fortifie.
La femme contrôle, l'homme donne
de l'autonomie.
La femme anticipe, l'homme dilate.
La femme ressent l'impératif
d'intimité, l'homme ressent l'impératif d'indépendance.
L'affectivité de la femme,
l'efficacité de l'homme.
Importance du rôle du père et de la masculinité au sein de la famille
La présence
et l'implication du père sont cruciales pour l'équilibre et le développement
des enfants. La fonction paternelle est un pilier de la structure familiale,
distincte mais complémentaire de la fonction maternelle.
Masculinité
positive :
La
masculinité n'est pas toxique, Il faut
repenser les qualités positives des hommes, telles que la protection, la force
et la stabilité. Ils ne sont pas naturellement maladroits.
Les
différences entre les sexes sont précieuses et enrichissantes pour la famille.
Complémentarité des
rôles : chacun apportant des contributions uniques à
l'éducation et au bien-être des enfants.
3) Troisièmement, la conciliation entre la vie professionnelle et la vie familiale.
Il faut changer les règles du
jeu, la mentalité sociale.
Des carrières moins linéaires.
Valoriser la maternité comme
valeur sociale.
Les entreprises ne peuvent pas se
passer du génie des femmes.
Sa façon de résoudre les
problèmes de manière pacifique, son intuition.
Humaniser le lieu de travail.Trois conciliations sont nécessaires pour que la femme fasse de la maison un foyer.
Première
conciliation : avec elle-même. Accepter son
identité de femme.
Deuxième
conciliation : avec son mari. Elle seule ne peut
pas transformer la maison en foyer.
Troisième
conciliation : avec le travail. Équilibre entre
la carrière professionnelle et le foyer.
1. Identité de la
femme.
Chaque personne a une dimension
d'accueil et une dimension de donation.
Les neurosciences montrent qu'à
partir de la 8e semaine de gestation, le cerveau se féminise ou se masculinise
sous l'effet des hormones (ocytocine et œstrogènes dans le cas des femmes).
La spécificité féminine découle de la
capacité des femmes (et non des hommes) à avoir des enfants.
Cette capacité génère une série de
caractéristiques féminines : accueil, attention, éthique du soin, attachement,
intuition, protection, nourrissement. Bref, l'humanisation par l'amour.
Les femmes doivent se réconcilier
avec elles-mêmes : se connaître et se réapproprier leur essence féminine.
Elles ne sont pas comme les hommes et
la maternité fait partie des paramètres de la réussite féminine.
Et le bon féminisme doit désavouer
l'idéologie du genre. Nous ne sommes pas neutres. Nous avons une spécificité.
Les femmes ressentent le besoin de
rester à la maison, de ralentir, de prendre soin des enfants.
Il ne s'agit pas d'une faiblesse,
d'une pathologie ou d'un problème, mais de la manifestation de la spécificité
féminine.
Identité
des femmes : accompagner.
Il n'est pas bon pour l'homme d'être
seul.
Il n'est pas bon que le nouvel Adam
soit seul. La nouvelle Eve, c'est Marie.
2) Deuxièmement
: se réconcilier avec le mari. Être avec notre couple. D'abord le couple. Si le
mariage est fort, la famille est forte.
L'homme n'est pas l'ennemi même s’il
n'est pas comme la femme.
Il voit la vie différemment.
Apprécier l'altérité sexuelle.
La femme protège, l'homme fortifie.
La femme contrôle, l'homme donne de
l'autonomie.
La femme anticipe, l'homme dilate.
La femme ressent l'impératif
d'intimité, l'homme ressent l'impératif d'indépendance.
L'affectivité de la femme,
l'efficacité de l'homme.
Importance du
rôle du père et de la masculinité au sein de la famille
La présence et l'implication du père sont cruciales pour
l'équilibre et le développement des enfants. La fonction paternelle est un
pilier de la structure familiale, distincte mais complémentaire de la fonction
maternelle.
Masculinité
positive :
La masculinité n'est
pas toxique, Il faut repenser les qualités positives des hommes, telles que la
protection, la force et la stabilité. Ils ne sont pas naturellement maladroits.
Les différences entre les sexes sont précieuses et
enrichissantes pour la famille.
Complémentarité des rôles : chacun apportant des contributions uniques à l'éducation et
au bien-être des enfants.
3)
Troisièmement, la conciliation entre la vie professionnelle et la vie familiale.
Il faut changer les règles du jeu, la
mentalité sociale.
Des carrières moins linéaires.
Valoriser la maternité comme valeur
sociale.
Les entreprises ne peuvent pas se
passer du génie des femmes.
Sa façon de résoudre les problèmes de
manière pacifique, son intuition.
Humaniser le lieu de travail.
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