17 juillet, 2025

Notes pour le 18 juillet 2025. Saint Frédéric.

 


🎉 Saint Frédéric, fêté le 18 juillet, est un évêque et martyr du IXe siècle, connu pour sa foi inébranlable et son courage face à l'injustice.


🕊️ Biographie de saint Frédéric d'Utrecht

  • Origine : Né vers 780 sur l’île de Walcheren, aux Pays-Bas.
  • Fonction : Évêque d’Utrecht, nommé vers 825 par Louis le Pieux, fils de Charlemagne.
  • Engagement : Il participa au concile de Mayence en 829 et reçut une dédicace du moine bénédictin Raban Maur sur son commentaire du Livre de Josué.

  • Martyr : Assassiné le 18 juillet 838, après avoir dénoncé la conduite immorale de l’impératrice Judith de Bavière. Il fut tué juste après avoir célébré la messe, et eut la force de pardonner à ses meurtriers.

✨ Patronages et symbolique

  • Patron des :
    • Meuniers
    • Ébénistes
    • Personnes victimes de tortures

  • Vertus associées :
    • Modestie
    • Piété
    • Foi profonde

🙏 Spiritualité et prière

Saint Frédéric est invoqué pour :

  • Trouver le véritable amour.
  • Se protéger des plaisantins et des tromperies
  • Cultiver la force intérieure et la fidélité à la vérité

 

Le prénom Frédéric est largement répandu dans le monde pour plusieurs raisons historiques, culturelles et linguistiques. Voici pourquoi il est si populaire :


🌍 Une diffusion européenne et mondiale

  • Origine germanique : Le prénom vient de Frid (paix) et Ric (puissant), signifiant « dirigeant pacifique ».

  • Utilisé depuis le Moyen Âge : Il a été porté par de nombreux rois, empereurs et nobles, notamment en Prusse, Allemagne, Scandinavie et France.

  • Variantes internationales :
    • Frédéric (français)
    • Friedrich ou Fritz (allemand)
    • Frederick (anglais)
    • Federico (espagnol et italien)
    • Fryderyk (polonais)

📈 Popularité historique

  • En France, Frédéric a connu un pic en 1973 avec plus de 18 000 naissances cette année-là.
  • Il est porté par plus de 300 000 personnes en France aujourd’hui.

  • Dans le monde, on le retrouve notamment en :
    • République démocratique du Congo 
    • (54 000+)
    • Burundi, Madagascar, Belgique, États-Unis, Cameroun, Rwanda, Canada

🎵 Influence culturelle

  • Des figures célèbres ont renforcé son attrait :
    • Frédéric Chopin (compositeur)
    • Frédéric Joliot-Curie (physicien)
    • Frédéric Mistral (écrivain)
    • Frédéric II de Prusse (roi éclairé)

💛 Pourquoi les parents l’aiment

  • Sonorité noble et douce
  • Signification positive : paix, force, sagesse
  • Facilement adaptable dans plusieurs langues et cultures


 


16 juillet, 2025

Notes pour le 17 juillet 2025 Carmélites de Compiègne

 


*Évangile* : Matthieu 11, 30

Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos.

Martyrs Carmélites de Compiègne sont un groupe de seize religieuses carmélites qui ont été guillotinées le 17 juillet 1794, à Paris, pendant la Révolution française, sous l'accusation de "fanatisme et de sédition". Leur exécution a eu lieu sur la Place du Trône Renversé (aujourd'hui Place de la Nation).

Voici quelques points clés à leur sujet :

  • Leur histoire : Elles vivaient au monastère de Compiègne. Pendant la Grande Terreur, alors que la vie religieuse était proscrite, elles ont refusé de renoncer à leurs vœux. Elles ont été arrêtées, jugées et condamnées à mort.
  • Leur histoire est un témoignage bouleversant de foi, de courage et de paix intérieure face à la persécution.
  • 🕊️ Contexte historique

 

  • En 1790, les ordres religieux furent dissous, et les sœurs expulsées en 1792, mais elles continuèrent à vivre en communauté, discrètement.
  • En septembre 1792, elles firent un vœu de martyre, s’offrant « en holocauste pour apaiser la colère de Dieu » et pour la paix de l’Église et de l’État.
  • ⚖️ Arrestation et condamnation
  • Accusées de fanatisme et de complot royaliste, elles furent arrêtées en juin 1794.
  • Leur procès fut expéditif : pas d’avocat, verdict imprimé à l’avance. Elles furent condamnées à mort pour leur fidélité à la foi.
  • Le soir du 17 juillet, elles chantèrent des hymnes comme le Salve Regina et le Te Deum sur le chemin de l’échafaud.
  • Leur martyre : Elles sont allées à l'échafaud avec une dignité et une sérénité remarquables, chantant des hymnes religieux (comme le Veni Creator) jusqu'au dernier moment. Leur mort impressionna fortement la foule présente.
  •  
  • La foule, habituellement hostile, resta silencieuse, émue par leur sérénité.
  • La prieure, Mère Thérèse de Saint-Augustin, mourut la dernière, bénissant ses sœurs et pardonnant aux bourreaux.


  • 🌟 Canonisation
  • Béatifiées en 1906 par Pie X, elles ont été canonisées en décembre 2024 par le pape François.
  • Leur sacrifice a inspiré de nombreuses œuvres, dont l’opéra Dialogues des Carmélites de Francis Poulenc.
  •  
  • La fin de la Terreur : Fait notable, dix jours après leur martyre, la Grande Terreur a pris fin avec la chute de Robespierre le 9 Thermidor (27 juillet 1794). Beaucoup y ont vu un signe.
  • Béatification et canonisation : Elles ont été béatifiées par le pape Pie X le 27 mai 1906. Plus récemment, le pape François les a canonisées le 18 décembre 2024, reconnaissant ainsi leur sainteté par équipollence (sans nécessiter un miracle post-béatification). Leur fête est célébrée le 17 juillet.
  • Postérité : Leur histoire a inspiré de nombreuses œuvres littéraires et artistiques, notamment le roman de Gertrud von Le Fort "Die Letzte am Schafott" (La Dernière à l'échafaud) et l'opéra de Francis Poulenc "Dialogues des Carmélites".

15 juillet, 2025

Notes pour le 16 juillet 2025. Notre Dame du Mont Carmel

 


Le scapulaire de Notre-Dame du Mont Carmel est un des sacramentaux les plus connus et les plus répandus dans l'Église catholique. Sa signification est riche et profonde :

1. Un signe de consécration et d'appartenance à Marie et à l'Ordre du Carmel :

  • Initialement, le scapulaire était une pièce de l'habit des moines et des moniales du Carmel. Il symbolisait leur engagement à suivre Jésus sur les traces de Marie.

  • Pour les laïcs, le petit scapulaire (deux petits carrés de tissu brun unis par des cordons) est devenu un signe d'appartenance à la famille carmélitaine et de consécration à la Vierge Marie. Il exprime un désir d'imiter sa vie de foi, d'humilité, de chasteté et de prière.

2. Un signe de la protection maternelle de Marie :

  • La tradition rapporte que la Vierge Marie est apparue à Saint Simon Stock, supérieur général des Carmes, en 1251, et lui a remis le scapulaire en disant : « Reçois, mon fils bien-aimé, le scapulaire de ton ordre, signe de ma fraternité et de ma faveur pour toi et pour tous les carmes. Qui mourra en lui ne connaîtra pas le feu de l'enfer. Voici le signe du salut, secours dans les dangers, l'alliance de la paix et de l'éternel engagement »

  • Cette promesse est au cœur de la dévotion au scapulaire. Elle signifie que Marie protège ceux qui le portent avec foi, les aidant à rester dans la grâce de Dieu et à obtenir le salut éternel. Cependant, il est crucial de comprendre que le scapulaire n'est pas une "amulette magique" ou une garantie automatique de salut. Il engage la personne qui le porte à vivre une vie chrétienne authentique.

3. Un engagement à vivre selon l'Évangile :

  • Le port du scapulaire n'est pas seulement une protection, mais aussi un appel à la conversion et à une vie de foi active. Il implique de :

    • Conformer sa vie aux enseignements de l'Évangile.

    • Recevoir régulièrement les sacrements (Confession, Eucharistie).

    • Cultiver une dévotion particulière à la Vierge Marie, par la prière (par exemple, la récitation quotidienne du chapelet ou de trois "Je vous salue Marie").

    • Chercher la communion avec Dieu par la prière.

    • Faire preuve de miséricorde et d'aide envers le prochain.

4. Un rappel constant de la présence de Marie :

  • Le scapulaire, porté discrètement sous les vêtements, est un rappel constant de l'amour maternel de Marie et de son intercession. Il invite à se tourner vers elle dans les difficultés et à chercher son aide pour grandir dans la sainteté.

En résumé, le scapulaire de Notre-Dame du Mont Carmel est un signe d'amour, de confiance et de consécration à Marie, qui promet sa protection maternelle et son aide pour mener une vie chrétienne fidèle, en vue du salut éternel. Il est une invitation à imiter les vertus de Marie et à vivre en accord avec les exigences de l'Évangile.


14 juillet, 2025

Notes pour le 15 juillet 2025. Saint Bonaventure

 


 

Prière de la Messe de saint Bonaventure : Accorde-nous de mettre à profit les richesses de son enseignement, et de prendre en exemple sa brûlante charité.

(L'itinéraire de l'esprit vers Dieu) : C'est sans doute son chef-d'œuvre. Ce traité mystique décrit les sept étapes de l'âme dans son ascension vers la contemplation divine, en s'inspirant de la vie de saint François d'Assise et de la structure du monde créé.

Saint Thomas et saint Bonaventure définissent de manière différente la destination ultime de l'homme, son bonheur complet : pour saint Thomas, le but suprême, vers lequel se dirige notre désir est : voir Dieu. Dans ce simple acte de voir Dieu tous les problèmes trouvent leur solution : nous sommes heureux, rien d'autre n'est nécessaire.

 

Pour saint Bonaventure, le destin ultime de l'homme est en revanche : aimer Dieu, la rencontre et l'union de son amour et du nôtre. Telle est pour lui la définition la plus adaptée de notre bonheur.


🌟 Une des phrases les plus admirées de saint Bonaventure est :
« La mesure de l’amour est d’aimer sans mesure. »

un amour qui dépasse les calculs, les limites, et même la raison. Elle évoque une charité divine, infinie, qui invite à se donner totalement.


13 juillet, 2025

Notes pour le 14 juillet 2025. Saint Camille

 


Prière de la Messe de saint Camille

Tu as donné, Seigneur, à saint Camille la grâce d’une étonnante charité envers les malades ; répands encore en nous ton esprit d’amour et nous pourrons, à l’heure de quitter ce monde, nous en aller vers toi en toute paix.

Saint Camille de Lellis (1550–1614) est un modèle de conversion, de charité et de dévouement envers les malades. Né à Bucchianico, dans le royaume de Naples, il mena une jeunesse tumultueuse marquée par le jeu et la vie militaire, avant de vivre une profonde transformation spirituelle.

Sa vie et sa mission

Conversion : Après avoir été ruiné par le jeu et souffert d’un ulcère incurable à la jambe, il trouva sa vocation en servant les malades à l’hôpital Saint-Jacques des Incurables à Rome.

  • Une jeunesse tumultueuse
  • Né en 1550, Camille perd sa mère très jeune et mène une vie instable, marquée par le jeu, la guerre et l’errance.
  • Il devient soldat, mais son addiction au jeu le ruine complètement.
  • Blessé à la jambe, il contracte un ulcère incurable qui le fait souffrir toute sa vie.
  • Le tournant providentiel
  • En 1575, alors qu’il travaille comme ouvrier dans un couvent capucin à San Giovanni Rotondo, il rencontre le gardien du couvent, le père Angelo.
  • Une conversation profonde sur le sens de la vie et la miséricorde divine le bouleverse. Le père Angelo lui dit : « Dieu est tout, le reste n’est rien ».
  • Le lendemain, jour de la fête de la Purification de la Vierge Marie, Camille quitte le couvent, mais les paroles du religieux résonnent en lui.
  • L’effondrement et la prière
  • Sur le chemin de Manfredonia, il s’effondre en larmes, tombe à genoux parmi les pierres et les ronces, et crie à Dieu :
  • « Seigneur, j’ai péché ! Pardonne à ce pécheur ! Donne-moi le temps de faire pénitence… plus de monde, plus de monde ! »
  • Une nouvelle vie
  • Cette prière marque le début d’une conversion radicale. Camille abandonne le jeu et les plaisirs mondains.
  • Il tente d’entrer chez les capucins, mais sa blessure l’en empêche.
  • Il se rend à Rome, travaille à l’hôpital San Giacomo, et découvre sa vocation : servir les malades comme s’il servait le Christ lui-même.
  • L’appel confirmé par une vision
  • Un jour, découragé par les difficultés, il voit le Christ détacher ses bras de la croix pour l’embrasser et lui dire :
  • « Poursuis cette entreprise… ceci est mon œuvre et non la tienne ».
  • Cette vision le fortifie. Il reprend ses études, devient prêtre en 1584, et fonde l’Ordre des Camilliens, dédié aux soins des malades, même au péril de la vie.
  • Fondation des Camilliens : En 1582, il fonda l’Ordre des Clercs réguliers pour les malades, appelés les Camilliens, voués à soigner les malades même au péril de leur vie.
  • Symbole : Il obtint du pape Sixte V le droit de porter une croix rouge sur l’habit noir, signe de leur engagement radical au service des souffrants.
  • Canonisation : Béatifié en 1742 et canonisé en 1746 par Benoît XIV, il est aujourd’hui patron des malades, des hôpitaux et des infirmiers, aux côtés de saint Jean de Dieu.

Héritage

  • Les Camilliens sont encore actifs dans le monde entier, notamment dans les hôpitaux, les zones de guerre et les lieux frappés par des épidémies.
  • Il est reconnu comme réformateur de l’assistance hospitalière, insistant sur la dignité des malades et la qualité humaine des soins.

📅 Fête liturgique

  • Elle est célébrée le 14 juillet, jour de sa mort, dans l’Église catholique.

 

 

 


12 juillet, 2025

Notes pour le 13 juillet 2025. Dimanche 15 du Temps Ordinaire

 

                


13 juillet 2025. 15 dimanche du Temps Ordinaire.

Évangile (Lc 10,25-37)

Et voici qu’un docteur de la Loi se leva et mit Jésus à l’épreuve en disant :

« Maître, que dois-je faire pour avoir en héritage la vie éternelle ? »

Jésus lui demanda :

« Dans la Loi, qu’y a-t-il d’écrit ? Et comment lis-tu ? »

L’autre répondit :

« Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de toute ton intelligence, et ton prochain comme toi-même. »

Jésus lui dit :

« Tu as répondu correctement. Fais ainsi et tu vivras. »

 

AIMER LE PROCHAIN est aussi une façon d’aimer Dieu, de même qu’un professeur qui enseigne bien sa matière et facilite l’apprentissage de ses élèves peut être remercié tant par les élèves que par leurs parents. Quand nous nous mettons au service d’une autre personne, Dieu nous manifeste sa gratitude. Le fondement de cette explication, qui nous fera mieux comprendre la parabole, se trouve dans la seconde lecture de la messe.

 

Jésus Christ a uni les hommes entre eux par son propre sacrifice. Depuis lors, les baptisés sont frères dans le Christ et, par conséquent,  enfants d’un même Père. Cette réalité, mystérieuse et sublime, est formulée par saint Paul dans sa lettre aux Colossiens. Il y explique que le Christ est le commencement, le premier-né d’entre les morts, la tête de l’Église ; son sang a rétabli la paix parmi les créatures de la terre comme de celles du ciel (cf. Col 1, 17-20). 

En nous unissant à lui par son sang, Jésus a fait de nos voisins des prochains, des frères qui méritent notre compassion. C’est pourquoi saint Josémaria avait un cœur si universel : le bien et le salut de tous les hommes lui importaient ; il voyait bouillir en eux « tout le sang du Christ ».

 

Les saints ont reçu des lumières divines pour mieux saisir cette vérité. Nombre d’entre eux ont créé des œuvres d’apostolat, car ils avaient compris que se soucier des autres revient à s’occuper du Christ. On raconte, par exemple, qu’une personne s’était exclamée, en visitant un mouroir tenu par des religieuses : « Vous faites un travail vraiment admirable ! Je ne le ferai pas pour un million de dollars ». Une religieuse lui répondit tout simplement : « Nous non plus ».


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11 juillet, 2025

Notes pour le 12 juillet 2025. Samedi de la 14 semaine du Temps Ordinaire

 


12 juillet 2025. Samedi de la 14 semaine du Temps Ordinaire.

 

 *N'ayez pas peur* !

 Évangile (Matthieu 10, 24-33)

En ce temps-là, Jésus disait à ses Apôtres : «Le disciple n’est pas au-dessus de son maître, ni le serviteur au-dessus de son seigneur.

 

Si les gens ont traité de Béelzéboul le maître de maison, ce sera bien pire pour ceux de sa maison. Ne craignez donc pas ces gens-là ; rien n’est voilé qui ne sera dévoilé, rien n’est caché qui ne sera connu.

 

Deux moineaux ne sont-ils pas vendus pour un sou ? Or, pas un seul ne tombe à terre sans que votre Père le veuille. Quant à vous, même les cheveux de votre tête sont tous comptés.

 

Soyez donc sans crainte : vous valez bien plus qu’une multitude de moineaux.


 PENDANT son séjour sur terre, Jésus a rencontré beaucoup de gens simples qui lui ont dit avec sincérité ce qu'ils avaient sur le cœur. 

Mais il en a aussi rencontré d'autres qui ne manifestaient pas le même amour de la vérité ; ils avaient beau faire de bonnes actions, leurs intentions n'étaient pas toujours des plus droites. C'est pourquoi le Seigneur s'est exclamé un jour : « Rien n’est voilé qui ne sera dévoilé, rien n’est caché qui ne sera connu » (Mt 10, 26).

Le Christ sait parfaitement comment nous sommes.

 Pour lui, il n'est pas question de maquiller nos défauts ou de vanter nos vertus : il veut que nos rapports avec lui soient marqués par la sincérité. 

C'est ainsi que le psalmiste, modèle de prière pour nous chrétiens, s'adresse à Dieu : « Tu me scrutes, Seigneur, et tu sais ! Tu sais quand je m'assois, quand je me lève ; de très loin, tu pénètres mes pensées. Que je marche ou me repose, tu le vois, tous mes chemins te sont familiers. Avant qu'un mot ne parvienne à mes lèvres, déjà, Seigneur, tu le sais » (Ps 138, 1-4).

Résolution : ouvrir mon coeur au Seigneur et dans la direction spirituelle. Jésus se sert de celui qui nous accompagne pour nous montrer la direction que nous nous sommes marqués après son appel.