*Jésus bonsoir* ! Mes paroles ne passeront pas
Vedredi, 29 novembre 2024*. Vendredi de la dernière
semaine du Temps Ordinaire
J’ai beaucoup aimé ce que François a dit le mercredi passé sur la
joie :
La joie de l’Évangile, à la différence
de toute autre joie, peut se renouveler chaque jour et devenir contagieuse.
Seigneur, ta Parole ne passe
pas !
Luc 21, 29-33
En ce temps-là, Jésus dit à
ses disciples cette parabole : « Voyez le figuier et tous les autres
arbres. Regardez-les : dès qu’ils bourgeonnent, vous savez que l’été est
tout proche. De même, vous aussi, lorsque vous verrez arriver cela, sachez que
le royaume de Dieu est proche. Amen, je vous le dis : cette génération ne
passera pas sans que tout cela n’arrive. Le ciel et la terre passeront, mes
paroles ne passeront pas. »
Comme dans les deux autres évangiles synoptiques (cf. notes sur Mt 24,32-41 ; Mc 13,28-37), les dernières paroles du discours traitent du moment de la venue du Christ. Avec l'image du figuier et des autres arbres (v. 29-33), le Seigneur nous assure que tout cela s'accomplira.
Cependant, le lecteur peut être déconcerté par le contenu du v. 32 : « Cette génération », dans le langage apocalyptique, peut se référer à tout le cours du temps qui précède le temps nouveau, lorsque le Seigneur viendra et établira une vie nouvelle. Aussi, lue dans son contexte, l'expression renvoie à ce que Jésus vient de répondre (v. 31), c'est-à-dire aux signes visibles annonçant la ruine de Jérusalem (21,7).
Mais les événements finaux - dont la ruine de la ville est l'avant-goût et le symbole - seront imprévisibles (v. 35).
L'expérience de la ruine de Jérusalem doit servir d'avertissement pour que nous soyons attentifs à la venue imprévisible du « Fils de l'homme », afin qu'il nous en trouve dignes. D'où l'exhortation finale à la vigilance, en menant une vie de sobriété (v. 34) et de prière (v. 36) qui nous permettra de nous tenir devant le Seigneur (cf. 21,28).
Apocalypse 20, 1-4
Alors j’ai vu un ciel
nouveau et une terre nouvelle, car le premier ciel et la première terre s’en
étaient allés et, de mer, il n’y en a plus. Et la Ville sainte, la Jérusalem
nouvelle, je l’ai vue qui descendait du ciel, d’auprès de Dieu, prête pour les
noces, comme une épouse parée pour son mari.
Comme dans les deux autres
évangiles synoptiques, les dernières paroles du discours traitent du moment de
la venue du Christ.
Avec l'image du figuier et
des autres arbres (v. 29-33), le Seigneur nous assure que tout cela
s'accomplira.
Cependant, le lecteur peut
être déconcerté par le contenu du v. 32 : « Cette génération », dans le langage
apocalyptique, peut se référer à tout le cours du temps qui précède le temps
nouveau, lorsque le Seigneur viendra et établira une vie nouvelle.
Aussi, lue dans son
contexte, l'expression renvoie à ce que Jésus vient de répondre (v. 31),
c'est-à-dire aux signes visibles annonçant la ruine de Jérusalem (21,7). Mais
les événements finaux - dont la ruine de la ville est l'avant-goût et le
symbole - seront imprévisibles (v. 35). L'expérience de la ruine de Jérusalem
doit servir d'avertissement pour que nous soyons attentifs à la venue
imprévisible du « Fils de l'homme », afin qu'il nous en trouve dignes.
D'où l'exhortation finale à
la vigilance, en menant une vie de sobriété (v. 34) et de prière (v. 36) qui
nous permettra de nous tenir devant le Seigneur (cf. 21,28).
Psaume 83
L’oiseau lui-même s’est
trouvé une maison,
et l’hirondelle, un nid
pour abriter sa couvée :
tes autels, Seigneur de
l’univers,
mon Roi et mon Dieu !
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