08 janvier, 2024

GUÉRISONS

 


Jésus est mon médecin.

J’ai confiance en Lui.



 
Marc 1, 29 : La fièvre la quitta, et elle les servait.



 
Chemin 837 :
Galoper, galoper !… Agir, agir !… Fièvre, folie de bouger… Merveilleux édifices matériels…
            Spirituellement : planches de bois blanc, pauvres tissus de coton, carton-pâte… Galoper ! Agir ! — Et beaucoup de gens courent, vont et viennent.
            Quiétude. — Paix.
— Vie intense mais au-dedans de toi. Sans galoper, sans cette maladie de changer de place, de l’endroit même qui t’est assigné dans la vie tu seras pour beaucoup source de lumière et d’énergie, comme une puissante  turbine spirituelle…, sans perdre toi-même ta force et ta lumière.



 
Catéchisme de l’Église catholique 1503 :
 La compassion du Christ envers les malades et ses nombreuses guérisons d’infirmes de toute sorte (cf. Mt 4, 24) sont un signe éclatant de ce " que Dieu a visité son peuple " (Lc 7, 16) et que le Royaume de Dieu est tout proche.
 
Jésus n’a pas seulement pouvoir de guérir, mais aussi de pardonner les péchés (cf. Mc 2, 5-12) : il est venu guérir l’homme tout entier, âme et corps ; il est le médecin dont les malades ont besoin (cf. Mc 2, 17).
 
Sa compassion envers tous ceux qui souffrent va si loin qu’il s’identifie avec eux : " J’ai été malade et vous m’avez visité " (Mt 25, 36).
Son amour de prédilection pour les infirmes n’a cessé, tout au long des siècles, d’éveiller l’attention toute particulière des chrétiens envers tous ceux qui souffrent dans leur corps et dans leur âme.
Elle est à l’origine des efforts inlassables pour les soulager.

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