Notes pour la Messe du dimanche 13 octobre 2024. 28 Dimanche du Temps Ordinaire B

 

Collecta de la Messe

Nous t’en prions, Seigneur : que ta grâce nous devance et qu’elle nous accompagne toujours, pour nous rendre attentifs à faire le bien sans relâche.

 

 Pour établir un lien entre la collecta de la Messe, les versets de Sagesse, Hébreux, et le Psaume, ainsi que l’enseignement de l’Évangile de Marc, nous pouvons considérer plusieurs points :

 

1. La grâce divine : La collecta évoque la grâce de Dieu qui nous précède et nous accompagne. Cela résonne avec le verset de Sagesse 7, où la sagesse est perçue comme une source de biens, soulignant que la grâce divine est à la base de toute vraie richesse spirituelle.

 

 

2. La parole vivante : Le verset de Hébreux 4 parle de la parole de Dieu comme vivante et percutante. Cela fait écho à l'idée que la sagesse, comme la grâce, nous appelle à une vie d'engagement, à nous rendre attentifs à faire le bien.

 

3. La mesure de nos jours : Le Psaume 89 demande à Dieu de nous enseigner la sagesse afin que nos cœurs soient pénétrés de cette connaissance. Cela nous prépare à répondre à l’appel de l’Évangile de Marc, où le choix de suivre le Christ implique le don total.

 

 

4. L’abandon pour suivre le Christ : Dans Marc 10, l'appel à tout quitter pour suivre Jésus est un acte de foi qui nécessite la sagesse et la grâce évoquées précédemment. Cela démontre que le véritable suivi du Christ se fait dans la lumière de cette sagesse divine.

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Concernant le Catéchisme de l’Église catholique (CEC), il mentionne l'appel à tout quitter pour suivre le Christ dans le contexte de l'engagement chrétien. 

Le CEC traite de la vocation à suivre Jésus dans plusieurs sections, notamment en lien avec le baptême et la vie chrétienne.

CEC 826 :

Ste. Thérèse de l’Enfant-Jésus : « Je compris que si l’Église avait un corps, composé de différents membres, le plus nécessaire, le plus noble de tous ne lui manquait pas, je compris que l’Église avait un Cœur, et que ce Cœur était brûlant d’amour. 

Je compris que l’Amour seul faisait agir les membres de l’Église, que si l’Amour venait à s’éteindre, les apôtres n’annonceraient plus l’Évangile, les Martyrs refuseraient de verser leur sang (...). 

Je compris que l’Amour renfermait toutes les vocations, que l’amour était tout, qu’il embrassait tous les temps et tous les lieux (...) en un mot, qu’il est éternel !